Que faire de nos souffrances ?

Café-Philo

Des contrariétés aux plus grandes blessures, la souffrance peut nous empêcher de vivre.

L’empêchement d’être soi (Luz), de grandir (Peter Pan), d’aimer celui ou celle qu’on veut (Petit Eyolf), de s’exprimer (La Question) ou encore la frustration (BACKLASH) sont autant de facteurs guidant vers la souffrance. Elle entame la relation à soi, mais aussi aux autres et au monde. La souffrance n’a-t.elle rien d’autre à nous dire ? Peut-on en tirer parti, afin de dire comme Eschyle : « par le souffrir apprendre » ?

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